Manon Isler explore, à travers sa photographie, les fenêtres et les structures créées pour aménager des points de vue dans le paysage. Son travail met en lumière l'absurdité de certaines traces laissées par l'impact humain sur les espaces naturels. La série a été entièrement réalisée en moyen format analogique. Ce projet a été présenté dans le cadre d'une exposition collective familiale intitulée « Du Chaos à la Trace ».